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Publié le : 25/03/2021 13:51:37
Catégories : Actualités , Nos partenaires
L’utilisation du plastique fait partie intégrante de nos habitudes les plus intrinsèques, et ses usages quotidiens nous rendent tétraplégiques face à ce fléau qui gangrène la Terre. Pourtant, il faut bien qu'on réagisse, c’est impératif. Cette tâche devrait-elle uniquement incomber aux dirigeants, aux responsables à divers niveaux ? Il serait préférable que tout le monde d’une part se rende compte de la situation et d’autre part y mette du sien pour une amélioration un tant soit peu effective. Pour l’heure, voici des moyens de réaliser des économies tout en réduisant notre consommation plastique.
La gravité du problème est essentiellement due à l’omniprésence du plastique. Il fait partie intégrante de nos vies et paraît indispensable. À la maison, au boulot, au marché, le plastique est devenu incontournable. Pourtant, ce plastique, inoffensif en apparence, a une dégradation très lente. En effet, un sachet plastique prend en moyenne un millénaire pour complètement se désagréger. Figurez-vous qu’on estime à plus de 500 milliards de sachets plastiques consommés chaque année, pour une durée d’utilisation en moyenne inférieure à une heure. Cela permet de se faire une idée sur la surcharge de pollution que nous fournissons à notre planète chaque année. À cause de ce fléau, nous assistons à :
Oui, cela est bien possible. Toutefois, à l’instar des nombreux Etats qui ont formellement interdit l’utilisation des sachets plastiques, les habitudes doivent être radicalement modifiées si l’on veut obtenir des résultats probants. Et si cela pouvait s’accompagner d’un peu d’économie, ne serait-ce pas génial ? Voici quelques idées à adopter.
La gravité du problème est essentiellement due à l’omniprésence du plastique. Il fait partie intégrante de nos vies et paraît indispensable. À la maison, au boulot, au marché, le plastique est devenu incontournable. Pourtant, ce plastique, inoffensif en apparence, a une dégradation très lente. En effet, un sachet plastique prend en moyenne un millénaire pour complètement se désagréger. Figurez-vous qu’on estime à plus de 500 milliards de sachets plastiques consommés chaque année, pour une durée d’utilisation en moyenne inférieure à une heure. Cela permet de se faire une idée sur la surcharge de pollution que nous fournissons à notre planète chaque année. À cause de ce fléau, nous assistons à :
Oui, cela est bien possible. Toutefois, à l’instar des nombreux Etats qui ont formellement interdit l’utilisation des sachets plastiques, les habitudes doivent être radicalement modifiées si l’on veut obtenir des résultats probants. Et si cela pouvait s’accompagner d’un peu d’économie, ne serait-ce pas génial ? Voici quelques idées à adopter.
Voulez-vous réaliser quelques économies ? Il faudrait envisager de boire l’eau potable du robinet. Cette dernière est totalement accessible à un coût dérisoire, tandis que l’eau en bouteille est beaucoup plus chère. En France par exemple, l’eau embouteillée peut aller jusqu’à 300 fois le prix de l’eau du robinet. Financièrement parlant, le débat n’a pas lieu d’être. D’aucuns diront sans se tromper qu’il ne s’agit pas de la même qualité. Il existe de nombreux dispositifs de filtrages, pour le moins performants, qui pourraient améliorer la qualité de l’eau du robinet. Ou encore, faire bouillir l’eau, une technique vieille comme le monde serait également utile. En fait, la Terre se porterait beaucoup mieux sans les bouteilles en plastiques. Environ 20 000 de ces récipients sont produits à la seconde près. Lorsque vous êtes de sortie, l’idéal serait de vous munir d’une gourde ou d’une bouteille d’eau écologique réutilisable. Ces bouteilles sont le plus souvent en acier inoxydable, ce qui leur confère un caractère isotherme. Il est donc possible de conserver de l’eau à température basse ou chaude durant plusieurs heures.
Ici, il n’est pas seulement question d’économie et de plastique ; il s’agit aussi de santé. Bien que les chewing-gums se soient toujours vendus en masse, la différence est que récemment, des scientifiques ont fait parler leur génie et ont réussi à changer la matière première de cette sucrerie. Au lieu du cliché, une gomme provenant des plantes, ils utilisent du plastique, majoritairement le polyéthylène et le polyacétate de vinyle. Ces produits sont cancérigènes. D’où l’urgence de ne plus débourser un sou pour acheter ces sucreries !
Les couverts en plastique font partie des ustensiles les plus utilisés. Dans les fastfoods, les repas à emporter, les fêtes, les soirées et bien plus encore, les couverts en plastique brillent par leur présence. Ces produits à usage unique ne sont utilisés que par paresse de nettoyer, une paresse qui coûte cher à notre planète. Pour faire court, les couverts en plastique s’évaluent en milliers de tonnes dans les océans. Pour changer la donne, il n’y a pas 36 solutions : il faut opter pour des ustensiles réutilisables (et en inox de préférence) afin d’éviter l’oxydation. Cela nous obligerait à les nettoyer au lieu de simplement les jeter, mais cela vaut le coup. De plus, moins de dépenses seront occasionnées du fait que le cycle d’achat serait rompu.
Le film alimentaire est bien souvent utilisé pour couvrir les repas. Il y a cependant plus écologique que cette option, voire plus efficace : les emballages alimentaires à base de cire d’abeille. Ils sont réutilisables des dizaines de fois et ont les mêmes propriétés qu’un moule. Ils s’approprient en effet bien la forme des aliments et ne laissent aucune ouverture à la poussière ou autre chose. Cerise sur le gâteau, ils ont naturellement certaines propriétés contre les bactéries et laissent passer l’air. De ce fait, les aliments ont droit à une meilleure conservation. On estime à un an la durée d’utilisation moyenne d’un tel emballage : ça en fait des économies !
Avant que la Terre ne succombe à cause de notre mépris à son égard, il faudrait adopter des habitudes qui réduisent quotidiennement notre consommation de plastique en privilégiant les produits réutilisables plutôt que ceux en plastique à usage unique. Nous sommes au fait de la situation, la balle est à présent dans notre camp.